Première partie
À l’approche de la date de notre rendez-vous le stress a commencé à monter dès le lundi, je vous recontacte donc le mardi pour échanger avec vous et me rassurer afin de diminuer ces inquiétudes. Vos messages bienveillants font diminuer mon stress, nous prenons rdv téléphonique pour le lendemain. Le jour J m’étant libéré pour l’après-midi j’arrive dans le quartier du Pandora avec 2h d’avance. Tentant de contrôler mes inquiétudes, j’en profite pour visiter le quartier et Montmartre que je n’avais jamais visité jusqu’à présent. À l’heure convenue ensemble je me rends face au club avec un niveau de stress maximum, je prends sur moi pour sonner puis franchir la porte. Dès mon entrée à l’accueil, je reconnais votre voix derrière le rideau ce qui me remet en confiance. Je suis les instructions que vous m’aviez précédemment communiquées. Ensuite, vous attends derrière le rideau rassuré (à moitié tout de même) en vous entendant discuter avec Maîtresse T. . Ensuite vous « levez » le rideau, suite au baise main habituel tout s’enchaîne très vite : collier, laisse et bandeau : je me retrouve dans l’obscurité totale . En compagnie de maîtresse T. vous me faites découvrir le club, enfin seulement la partie sonore, j’entends les coups de martinet, les gémissements, mais aussi les rires et quelques phrases de discussions. Vous me promenez dans tout le club, guidé par votre voix et celle de maîtresse T.. Je suis rassuré et me laisse guider par cette traction exercée par la laisse : cette laisse qui, dans l’obscurité et dans un environnement inconnu, est finalement contraignante et rassurante tel le cordon ombilical maintenant le fœtus en vie. Passée cette digression métaphorique, vous m’ordonnez d’entrer dans la cage, toujours dans l’obscurité. Vous me présentez Ness Harper, l’organisatrice. Je la salue d’un baise main à travers la cage avant de replonger dans l’obscurité. Puis la cage sur roulettes se remet en route à travers le club. Ces différents parcours dans l’obscurité me désorientent totalement, ajoutés à l’enfermement de la cage et me permettent de lâcher prise et de m’en remettre entièrement à votre volonté. Vous me demandez de m’occuper de vos nouvelles cuissardes, je m’exécute. Vient ensuite une autre surprise, un excellent gâteau d’anniversaire : Vous me demandez de souffler les bougies sans les voir, moment extrêmement drôle. Puis j’ai le droit à une part de gâteau, je suis repris par Maîtresse T. qui m’interdit d’utiliser les mains et finit par bourrer le reste du gâteau dans ma bouche : à ce moment, un peu d’eau aurait été nécessaire pour l’avaler mais impossible d’en demander avec la part de gâteau dans la bouche, et il m’est inimaginable de recracher.
Dans un premier temps je pense m’étouffer puis j’arrive à gérer la situation en exploitant la place disponible dans la bouche, tel un hamster qui fait des provisions pour l’hiver. Ensuite, le spectacle de martinet enflammé est vraiment impressionnant : un participant quelque peu poilu dégage une petite odeur « de cochon » grillé : Maîtresse me demande si je souhaite essayer. Au vu de ma pilosité dorsale je préfère décliner : je crains des marques en finissant avec la moitié des poils grillés qui remettrait en cause la confidentialité de cet après midi. Ce termine ainsi la première partie dans la cage.
Deuxième partie
Une fois la vue retrouvée, vous décidez de monter à l’étage. Dans un premier temps, nous nous retrouvons à l’étage où se trouve un espace cosy, aménagé d’un grand matelas rouge adapté pour les jeux disons plus engagés. Nous y retrouvons une soumise avec son maître en pleine séance de shibari. Vous nous ordonnez de protéger le matelas avec une bâche de protection en plastique pour la suite… Suite qui arrive très vite car vous sortez 2 godes, un pour le soumis que vous avez convié avec nous cet après midi là, et je j’imagine la destination que vous aviez prévu pour le second.
Entre temps une grande partie des personnes du rez de chaussée vient nous rejoindre. Nous échangeons ensemble je vous exprime ne pas être à l’aise pour une première et en public. Que cela ne tienne, vous avez plus d’un tour dans votre sac de jeux et sortez une bougie à 5 mèches : ça va être chaud !
Vous me faites allonger sur le dos. Entre temps, une soumise avec son maître se joint à nous. Commence alors la découverte de la bougie. Je suis surpris que la chaleur ressentie soit aussi intense, s’agissant d’une bougie basse température, je tente de résister à la douleur. Vous semblez aussi surprise et faites un essai sur les fesses de la soumise à côté de moi, qui encaisse sans sourciller. Déçu de mon manque de résistance je demande si il est possible de faire couler de la cire sur les fesses également pour essayer : c’est plus supportable mais très chaud.
Nous passons au tour suivant avec, dans votre valise de jeux, de l’électrostimulation, comme les choses ne sont jamais faites à moitié avec vous, vous augmentez l’intensité jusqu’à mon safeword orange. Puis vous ajoutez les vibrations d’un magic wand. Ayant une sur sensibilité au niveau du frein, je ressens une douleur insupportable et, pour ma première fois, je suis obligé d’utiliser mon safeword rouge. Vous décalez légèrement la vibration vers la base du pénis pour m’emmener délicieusement vers l’orgasme. Vous me refusez celui-ci dans un premier temps. Je tente de résister, mais c’est mal connaître vos mains expertes . J’implore sans succès, je résiste. Je sens toute résistance devenant impossible, vous finissez par m’autoriser, j’arrose partout dans une jouissance extrême. S’ensuit la douche puis la restitution du lieu dans le même état de propreté que nous l’avions trouvé.
Épilogue
Il reste une heure avant la fermeture du club, je vous fais découvrir quelques nouveaux jouets télécommandés : un plug à la fois vibrant, et donnant des chocs électriques, et une cage aussi télécommandée. Vous prenez les 2 télécommandes et pouvez ainsi jouer à pile ou face. L’heure avançant nous nous habillons pour repartir. Ayant oublié le masque que je portais, en sortant, je me fais arrêter par un autre joueur et je l’enlève avant de sortir.
Signé : Votre soumis que vous avez baptisé : Anonyme