Et si les sorcières n’étaient pas des créatures malfaisantes, mais les dernières prêtresses d’une ancienne religion oubliée ?
Dans Le Dieu des sorcières, Margaret Murray raconte l’histoire d’un vieux culte païen centré sur un dieu cornu, lié à la nature et à la fertilité.
Elle s’appuie sur les procès de sorcellerie, les légendes et les traditions populaires pour montrer que ces femmes (et quelques hommes) suivaient une vraie religion, bien organisée.
Persécuté pendant des siècles, ce culte aurait survécu en secret jusque dans l’époque moderne.
Ce livre redonne du sens à la figure de la sorcière : non plus une menace, mais une gardienne de rites anciens.
Accessible et fascinant, il invite à voir l’histoire autrement — et à remettre en question bien des idées reçues.
Le livre indispensable pour connaitre le culte de fertilité dont les femmes étaient les maitresses et prêtresses incontestées.